visite d'écoliers de ma circonscription

Publié le par Christian Vanneste

J’ai reçu, hier, la visite des élèves du collège Charles PEGUY de Tourcoing. Après avoir visité Paris à bord d’un  bateau-mouche, ils sont venus assister à la séance des Questions au Gouvernement. J’ai pu ainsi expliquer à ces futurs citoyens le fonctionnement de notre démocratie et de l’Assemblée nationale. Lundi prochain, c’est au tour des enfants d’une classe de CM2 de l’Ecole Jean MACE d’Halluin de venir visiter le Palais Bourbon.

 

 

 

 

 

 

Je vous fais part également de ma décision de participer à « la commission d’enquête relative à l’influence des mouvements à caractère sectaire et aux conséquences de leurs pratiques sur la santé physique et mentale des mineurs », qui sera présidée par Georges FENECH. Si vous avez des opinions à ce sujet, n’hésitez pas à m’en faire part !

 

 

J'ai, par ailleurs, signé plusieurs propositions de loi de mes collègues: ainsi, celle visant à réglementer l'installation de sex-shops, mais aussi celle visant à la création d'un véritable statut de la santé étudiante (clarification des modalités de prise en charge, création d'un chèque santé étudiant...)...

 

 

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G
Je rejoins la dernière intervention. Le filtrage est très difficile surtout que des sites anodins en apparence peuvent se révéler truffés de contenus pornographique et ne parlons pas de certians blogs.L'obligation d'adopter un nom de domaine.xxx me semble une idée très intéressante. Car effectivement comme vous le dites le filtrage en serait grandement simplifié.
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F
Cher Cabinet Parlementaire,Filtrer du contenu pornographique par une analyse contextuelle sur le web est une utopie. Les techniques actuellement utilisées reposent essentiellement sur des black lists qui sont alimentées manuellement et qui pour l\\\'essentiel concernent des sites américains. Le seul moyen raisonnable - mais sans garantie à 100%, malgré tout - aurait été que l\\\'administration américaine ne bloque pas l\\\'adoption du domaine .xxx et que les états légifèrent de sorte que tout producteur de contenu pornographique ait l\\\'obligation de migrer dans le TLD (top level domain) .xxx.Auquel cas bien sûr le filtrage aurait été grandement simplifié. Depuis la LCEN on traîne ce mythe du filtrage de contenu, laissez moi vous dire qu\\\'il n\\\'existe aucune solution satisfaisante en ce domaine sauf à réduire drastiquement et arbitrairement un contenu licite et non interdit aux moins de 18 ans selon nos critères actuels.
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E
<br /> c'est con ce post commmencait par une discution interressante.<br /> et voila zapatrick qui resort les pauvre kiosqueux obliger de vendre des magazin porno au mineur...pas par appat du gain ...non non non...mais a cause des adorateur de satan qui controle leur boutique... et autres considerations illisibles.<br /> <br /> pas un mot par contre sur les sectes qui guerrisse l'homosexualité par thaumaturgie pour lesquel il a fait tant de pub il y a peu.<br /> <br /> le debat est gaché? comme toujours
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Z
Post 3bis - Liberté de la presse, liberté d'entreprendre ? Dans vos rêves mon cher Christian Vanneste. J'entends dire sans arrêt aux kiosquiers et vendeurs de journaux, qui triment toute la sainte journée pour une bouchée de pain, qu'ils essuieraient les foudres des distributeurs, que leur licence professionnelle leur serait ôtée, sitôt qu'ils refuseraient de vendre et de promotionner des magazines obscènes. Qu’êtes-vous en possession de faire, tout parlementaire que vous êtes, pour ce pauvre bougre de vendeur, pour cette honnête bougresse de marchande, que les oppresseurs de la presse contraignent à présenter le poster de Clara Morgane dénudée devant la devanture de leur commerce ?... Pas davantage, n’en doutons pas, que vous n'avez en main le pouvoir actuel de soustraire les librairies d’Auchan, dont le propriétaire s'avoue Catholique pratiquant à la loi qui les oblige à passer commande des détritus infects de Catherine Millet, sur la demande expresse d’un client pervers. Saleté de législation ! Lois iniques et pernicieuses, que Dieu vous brise et vous pulvérise ! Du reste trouve-t-on encore un seul journal d'opinion catholique, dans ce prétendu vivier de libertés qu'est la République, qui, pour posséder l'avantage d'une diffusion nationale, n'ait pas vendu son âme à la publicité profane, au conformisme idolâtrique de la presse people, à l'air tiède et douceâtre de ce temps de lâcheté morale ? Combien de ces journaux dits catholiques, à qui le courage n'a pas indignement manqué de soutenir la cause du dernier défenseur politique de leurs intérêts, j'ai nommé vous, le grand Christian Vanneste ? Honte à ces moustiques de bénitiers, qui se noient veulement à la surface de l'eau !<br /> Vomiraient-ils mille ans leurs injurieux délires, les invertis écervelés qui bramaient à votre encontre comme des daims à l'agonie devant le tribunal de Lille ne gagneraient jamais tant de droits à la bastonnade de Wierjezski, que ces paillassons de sacristies et ces polochons de presbytères qui ne dormaient pas seulement quand leur Seigneur agonisait au verdict de Lille, mais qui croupissaient encore dans leur couarde apathie quand il ressuscitait dans l’appel que vous interjetiez. Que le Bon Dieu nous pardonne, par le fait, à tous nous autres Chrétiens, de repousser le don exceptionnel et prodigieux qu’il fait à son peuple à la dérive, dans votre courage et votre sagesse audacieuse et constante ! Que le Bon Dieu nous pardonne, à peine nous a-t-il ouvert une brèche par votre moyen à travers la muraille politique qui nous oppressait, de la colmater sitôt de nos mains ingrates et timorées ! Que le Bon Dieu nous pardonne de lâcher avec une morne indolence celle virile et rassurante qu’il tend à ses enfants égarés par l’entremise d’un homme qu’en d’autres temps tous les orphelins de France eussent espéré d’avoir pour père ! Que le Bon Dieu nous pardonne de censurer la foi qui brûle au fond de nos âmes, quand une voix aussi puissante, aussi péremptoire que la vôtre nous rend la parole confisquée par l’assourdissante clameur du mensonge ! Au nom de la France chrétienne, de toutes les église de France, je vous demande pardon Seigneur, de leur indifférence à vos grâces, de leur mépris de vos prophètes, du scandale meurtrier que leurs omissions répandent sur la terre. Pardon mon Dieu et pardon à vous mon Député, qui rendez avec une noble autorité temporelle, aux Evêques qui n’osent remplir leurs devoirs, le service supplétif, que leurs prédécesseurs à l’heure où les institutions romaines succombaient aux assauts rudes des barbares, offrirent au pouvoir temporel qui vaquait, en le prenant sous leur autorité. <br /> Il se peut, mon cher Député, que vous n’ayez point le sentiment de faire œuvre de religion, il se peut que vous vous en défendiez, mais quelles que soient vos impressions et vos dénis, Christian Vanneste, comme à propos du centurion qui faisait dire à Jésus-Christ qu’il n’était pas plus digne d’aller à sa rencontre que de l’accueillir sous son toit, mais qu’il suffisait qu’il commandât que son serviteur fût guéri pour qu’il le fût en effet, Notre-Seigneur vous rétorque : « Je vous le dis, même en Israël, c’est-à-dire même dans mon Eglise, parmi mes prêtres et mes apôtres, je n’ai trouvé de foi aussi grande. »<br /> C’est au reste sur cette foi, que l’on vous persécute et que l’on vous condamne, c’est sur cette foi comme sur la vertu qui l’accompagne et non pas sur la critique que vous faites de l’homosexualité. Car, si l’on se retient à l’ordinaire de la critiquer, ni la charité ni la neutralité n’en sont cause, c’est par la raison qu’on craint de n’avoir pas assez de foi dans la vérité, pour la publier et la soutenir sans faillir contre une opposition cruelle et tenace, tout de même que d’offrir à celle-ci, par les dérèglements de sa vie, le loisir de tourner à quelque critique en retour plus méchante et dérisoire. Par crainte de la critique l’on s’abstient de critiquer, par goût personnel du vice l’on flatte ceux d’autrui, et manque de foi l’on évite de juger, de peur non de froisser ses pareils, mais d’être blessé par plus opiniâtre et convaincu que soi. Lâcheté, lâcheté, lâcheté ! Fussiez-vous un athée, fussiez-vous notoirement infidèle à votre femme, quel pervers, si pervers soit-il, aurait-il pris la peine d’ajouter par une plainte en justice au cocasse discrédit que vos contradictions infâmantes auraient jeté sur vos déclarations anti-gays ? Le vrai, c’est que votre assurance hardie, votre fermeté sereine, votre inébranlable foi dans le jugement que vous prononcez en dépit d’un tabou dominant et intransigeant, incitent vos contradicteurs à vous imaginer avec une féroce envie, avec une âpre irritation une existence honnête et sans reproche. « Salopard, crie le démon qui les habite ! Tu verras que je te ravilirai dans le plus noir désespoir, je te ferai passer, toi l’insupportable innocent, pour la plus exécrable ordure de l’univers ! J’ai ta foi, ta vertu, ton courage en exécration, m’entends-tu ? Je causerai ta ruine, je te ferai mordre la poussière comme le serpent que je suis ! Salopard ! Salopard ! Je te détruirai, je détruirai tout ce que tu es, tout ce en quoi tu crois, tout ce à quoi tu tiens, je le jure sur l’Enfer où je règne ! » Ainsi vocifère le démon du Lobby gay, que l’arme nationale que vous faites de la moralité que vous honorez, met hors de ses gonds et porte à l’excès de fureur !<br /> De clamer à perdre haleine quand Zinedine Zidane détruit en fin de match, comme il est arrivé ce mardi soir, la dernière chance des Espagnols d’égaliser à deux partout avec la France : « Vive le grand Zidane, vive l’honneur de la France ! », nul ne s’en fait faute qui le désire, non plus que ne s’en vexe qui l’entend dire, car cet éloge n’engage à rien. Quel sujet de crainte serait-ce au Diable, dites-le moi ? Mais dès que j’appelle grandes et que je m’extasie sur les vertus morales d’un héros national ; dès que mes louanges emplissent leur emphase d’une vérité ferme qui durcit son tour et n’amuse plus l’âme, mais l’engage dans l’aveu d’une certitude personnifiée, d’une volonté divine actualisée, qui la transcende et la domine ; dès que je prononce sur la grandeur de la vérité qui vous habite, de la vérité qui s’incarne, non de celle qui, confuse, se pense avec toute licence de l’éluder ou de la gauchir, mais de la vérité qui se témoigne avec vigueur, qui s’articule avec clarté, qui s’énonce avec franchise, de la vérité qui souffle où elle veut elle et non point où nous voulons ; dès lors que j’appelle grande, que j’applaudis avec humilité l’action révélatrice du Dieu de Vérité dans l’existence d’une de ses créatures, j’entends la France s’indigner, j’entends la France s’émouvoir d’angoisse, j’entends la France s’inquiéter d’une crainte qui ne s’élève jamais contre un culte idolâtre, mais contre le vrai Dieu qui surgit en juge au milieu d’elle, tant il est vrai que son âme en révolte, ne souffre plus, depuis deux ou trois siècles déjà, d’autre engagement prolongé, qu’envers le Prince des Enfers, comme l’entendait Christina Gallagher, la mystique irlandaise que j’ai déjà citée. Quoi donc ? Serait-il plus noble et plus digne d’éloge, d’enfoncer un ballon entre deux poteaux aux encouragements enfiévrés de la foule, que d’être seul comme vous l’êtes à défendre la grandeur d’une vérité qui ne regarde, comme vous le dites, rien de moins que la survie de l’humanité ? Cher Christian Vanneste, il serait excessif et par là même insignifiant, que ma seule bouche vous le dise, mais celles de tous les vrais Français s’expriment ici par la mienne : Vous êtes définitivement un grand homme que le Bon Dieu bénit ! Comment donc jugerions-nous à rebours sans rabaisser avec ingratitude, et comment donc jugeriez-vous ainsi, sans méconnaître dans une orgueilleuse modestie, la grandeur de l’Eternel qui se manifeste en vous ? Que votre grandeur, comme toute vraie grandeur, soit une grandeur d’emprunt, certes ; il reste constant que c’est une grandeur nécessaire. Je vous salue Grand Député, je vous salue de toutes de toutes les fibres de mon cœur, de toutes les entrailles de mon âme, de toutes les forces de la France réelle, qui ne s’est pas reniée et qui n’a pas peur, de recevoir en vous l’insigne manifestation de la volonté divine. Gloire à Toi Seigneur Jésus qui, lors même que nous t’abandonnons, nous fait encore reconnaître dans la chair de notre peuple la présence de ton amour et de ta sagesse infinis ! Je t’adore mon Seigneur, mon Dieu, mon Tout, ma Vie ! Combien te dirons-nous de fois merci pour ton serviteur Vanneste ? « Je serai avec vous jusqu’à la fin des temps » nous as-tu promis. Tu ne t’es pas dédit : quand ton cœur palpite en nous dans l’eucharistie, quand ton âme nous dirige dans le Pape et dans l’Eglise, ta voix plus forte et plus enflammante que jamais éclate en Christian Vanneste, notre bien-aimé Député ! Alléluia ! Bravo, merci, gloire à Toi ! Vive le Député Vanneste, Protecteur de la France ! Vive Jésus-Christ Roi des Francs ! AU NOM DE LA FRANCE !
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S
Monsieur Vanneste Comment est-ce que la loi peut juger du bien fondé d'une croyance ? Vous avez été jugé et condamné pour avoir osé dire que le marriage hétérosexuel avait plus de valeur que le marriage homoseuel Quasiment toutes les religions du monde partagent votre opinion. Je la partage aussi. Je crois aussi en Dieu et en une vie après la mort. Je crois que l'acte sexuel n'est pas seulement une communion de deux corps mais aussi celui de deux ames et que c'est un acte sacré. Alors moi aussi je peux être condamnée. Des parents très engagés dans un parti politique ont au moins autant d'influence sur leurs enfants que des gens ayant une croyance religieuse. Poutant on ne crée pas de Miviludes sur eux. Ce que je revendique c'est la liberté de penser. Les pays communites ont tout fait pour enrayer les croyances religieuses et continuent de le faire. La persecution en Chine des gens du Falun dong a commencé après que la Chine a constaté que la France "pays des droits de l'homme" avait crée une législation anti secte. Comment pouvez vous affirmer que la France est en avance alors que le Conseil de L'Europe lui a signifié que sa fameuse liste de sectes n'etait pas démocratique et conforme aux grands principes Européens. Tous les citoyens doivent être égaux devant la loi.Ils ont les mèmes devoirs et les même droits. Je revendique haut et fort ma liberté de penser même si elle ne fait pas parti des pensées considérées comme politiquement correctes. J'espère que quelqu'un comme vous qui avez eu le courage d'exprimer votre position et avez été persécuté comprendra le combat des nouveaux mouvements religieux pour la liberté d'opinion
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C
Mais, Madame, nous sommes tout à fait d'accord. Le but de cette Commission d'enquête est exclusivement de s'intéresser aux moyens de lutte contre les dépendances lorsqu'elles concernent des mineurs que l'Etat se doit de protéger plus que tout. Je le répète, si votre choix est un acte clair et délibéré, l'Etat n'a pas vocation à intervenir et la liberté de penser prime fort heureusement!