Christian Vanneste se pourvoit en cassation.

Publié le par Equipe CV

Christian VANNESTE a décidé de saisir la Cour de cassation contre l’Arrêt de la Cour d’Appel de Douai du 25 janvier 2007.

           

Cette décision de la Cour d’Appel relève de l’exploit puisqu’elle condamne d’un coup VOLTAIRE et BENOIT XVI, pour une fois d’accord.

          

Monsieur de LA PALISSE, l’homme de l’évidence, est interpellé : l’homosexualité permettrait à l’Humanité de perdurer.

         

Christian VANNESTE entend poursuivre son combat politique et judiciaire pour la liberté d’expression. 

          

Plus que jamais, elle doit être libre et sans entrave sur le plan moral, politique et spirituel. 

          

La liberté d’expression garantie par la Déclaration des Droits de l’Homme et par la Convention Européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ne saurait être abandonnée par la France. 

         

Un parlementaire est investi d’une parcelle de la souveraineté nationale, sa liberté d’expression est une condition de la démocratie et de l’Etat de droit.

           

Vingt-trois députés ont récemment cosigné une proposition de Loi de Christian VANNESTE qui reprend les propos qui viennent d’être incriminés par l’arrêt critiqué. 

          

Une dérive judiciaire ne saurait restreindre le débat citoyen sur le mariage homosexuel et l’adoption homoparentale.

Le Garde des Sceaux s’était engagé à ce que le malheureux texte voté en décembre 2004 ne conduise pas à cette tragique conséquence.

Des millions de personnes partagent et soutiennent la démarche intellectuelle de Christian VANNESTE : soit le droit n’a pas été dit, soit la loi doit être modifiée de toute urgence.

NB: Nous avons décidé, par mesure de sécurité, de modérer pour le moment les commentaires de ce bloc-note. N'hésitez pas à écrire à l'adresse suivante: cvanneste@hotmail.fr.

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A
Mr Vanneste, je tiens à vous faire part de ma tristesse face à votre positionnement qui appelle une nouvelle fois à un affrontement entre deux franges de la poplation qui n'ont en aucun cas le droit d'intervenir dans le choix de vie de l'une ou de l'autre. Vous revendiquez votre mandat parlementaire pour vous exprimer ainsi sur la question, or c'est un pretexte totalement illégitime car vous êtes élu pour un mandat représentatif et général dans l'esprit de la constitution et de la souveraineté populaire, or en vous exprimant ainsi vous mettez à mal l'avenir de la nation en faisant persister des conflits entre homos et hétéros, l'homosexualité n'engageant que les homosexuels, certains hétérosexuels ne s'en offusquant que par excès de bienséance, relayés par des élus comme vous. Alors, je vous en prie, laissez-nous vivre, j'ai 19 ans, j'ai un petit ami, je n'ai pas choisit d'être homosexuel, je suis heureux comme ça et je ne souhaite pas nous voir en difficulté dans un pays qui est le notre et dans lequel nous ne faisons aucun mal sinon celui de vivre tels que nous sommes. Merci de me publier, c'est ça aussi la liberté d'expression, d'accepter la contadiction.
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C
Cher Monsieur,<br /> Je vous remercie de votre commentaire. Contrairement à mes adversaires, j'accepte le débat: c'est pourquoi vous êtes ici chez vous.<br /> Si je comprends très bien votre pensée, il est néanmoins nécessaire que vous compreniez la mienne. Je suis en effet un élu de la Nation et je suis chargé de légiférer en fonction de l'Interêt général. Or, qu'est ce que l'IG, si ce n'est la pérennité de la Nation et l'épanouissement de la Famille. La loi -et je me répète- n'a pas vocation à s'insérer dans les compliments privés. Point.<br /> Vous ne me ferez pas croire néanmoins que vous vivez mal dans notre pays? La France est le plus beau pays du monde et nous y vivons tous, hommes et femmes, fort bien, chacun avec ses diversités. Comme vous le savez, je suis très ferme sur les agressions: c'est pourquoi je soutiens la politique de N. Sarkozy: chaque personne doit être protégée.<br /> Espérant avoir répondu à vos questions.Bien à vous<br />  
L
<br /> Belfort, le 4 février 2007, fête de la Purification de la Vierge<br /> <br /> Monsieur le député,<br /> Je souscris à votre combat et condamne le jugement honteux qui vous frappe. Je crois que mon opinion est représentative de l’immense majorité silencieuse qui subit l’instauration d’une tyrannie dans notre pauvre France. Je nuancerai mon jugement concernant la forme de votre propos et de votre défense. Comme certains vous l’ont fait remarquer, il est maladroit et injuste de parler d’ " infériorité " des homosexuels et de justifier votre attitude par la référence à Voltaire et à la " liberté d’expression ".<br /> C’est le scandale public des comportements qui est condamnable dans la pédérastie. Les homosexuel(le)s sont des victimes de leurs tendances intimes exaltées par notre société matérialiste et athée. Personne ne peut se dire à l’abri de telles tentations : depuis le Péché Originel, chacun incline au mal. Face au déferlement pornographique médiatique sciemment organisé, les âmes sont déstabilisées, cherchant à remplir leur vide intérieur. La première réforme à entreprendre est de poser des bornes à ce déferlement. La pornographie est nuisible à tous : aux adultes comme aux enfants. Il est absurde de faire une distinction entre une permissivité acceptable et une autre inacceptable, de se contenter d’un " contrôle parental " comme si les parents n’avaient rien à craindre eux-mêmes. Tout est empoisonné. Les pères et les mères de famille ont certainement à s’accuser d’une faiblesse coupable et même d’une honteuse complicité pour paraître " dans le vent" au lieu d’opposer une ferme protestation face à ces images qui entrent dans leurs rues et jusque dans leur foyer; au lieu de contredire les propos déshonnêtes qui ne doivent pas attirer le sourire mais le blâme. C’est l’honneur exclusif de notre civilisation chrétienne d’avoir encouragé une ascèse personnelle qui permet à chacun, avec la grâce de Dieu, d’échapper à l’esclavage de ses passions.<br /> Qu’une personne, en réalité ou par persuasion, se sente attirée vers des personnes de son sexe, c’est, pour elle, une épreuve dont personne ne devrait la blâmer. Que cette personne passe à l’acte, c’est un malheur où cette pauvre âme se perd ici-bas et dans l’éternité si elle ne se reprend pas avec l’aide de Dieu. Ceci reste encore une affaire personnelle. Ce qui est proprement inadmissible et doit être réprimé, c’est l’étalage et la promotion du vice.<br /> Jésus-Christ, dans sa bonté, prévient lui-même de tels égarements : " Celui qui scandalise un seul de ces petits, mieux vaudrait pour lui qu’on le jetât à la mer avec une meule au cou ".<br /> L’attitude courageuse et digne d’une âme tentée qui veut son propre bien est de demeurer dans l’abstinence et de se garder des occasions de péché. Dieu qui veut le bonheur éternel de chacun aide à y parvenir.<br /> La loi divine est l’unique rempart à opposer aux débordements d’une société sans aucune limite. La barbarie progresse, parfois provoquant l’autorité volontiers complice, parfois s’abritant d’une légitime indignation sous le couvert de lois devenues alors sacro-saintes. La ficelle, filée dans les officines, est un peu grosse, mais elle fonctionne toujours.<br /> Vous avez eu le cran d’affronter cette vague d’immoralité dans sa déferlante la plus glauque : votre courage vous mérite d’être fouetté des premiers embruns… " Le monde vous haïra comme il m’a haï. Mais courage ! J’ai vaincu le monde ".<br /> Vous voilà devenu l’ambassadeur et le témoin de tous ceux qui espèrent vivre et élever leurs enfants dans la dignité, de tous ceux qui tremblent pour ces petits sans défense que les vautours guettent. Nous comptons sur vous pour demeurer irréprochable dans votre tenue et vos propos : vous n’avez pas droit à l’erreur.<br /> J’adresse une copie de ce commentaire aux députés de ma région, Messieurs MESLOT et ZUMKELLER. J’attends, qu’au-delà des calculs politiques (qui seront vite faits), chacun reconnaisse où est son devoir et vous soutienne.<br /> Bien cordialement,<br /> LS
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L
Tout à fait d'accord avec l'analyse de Brandodean (commentaire 132)
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B
Ce qui est certain, c'est que la prise de position de M. Vanneste a permis de constater, une fois de plus, que la langue française peut-être comprise et interprêtée de multiples façons, selon le niveau intellectuel, social voire religieux !<br /> Etant donné que les mots employés par Christian Vanneste aient été rapportés en sa qualité de député, lors d'une discussion à l'assemblée nationale, je ne comprends pas cette censure faîte à un Député de la Nation ! Si ce député n'est plus en accord avec le peuple, il a la possibilité d'être sanctionné lors des élections législatives, et non par les politiques ou la justice française.<br /> Aussi, beaucoup de députés ou sénateurs pourraient être poursuivis et condamnés par la justice, pour des propos infamants parfois insultants, lors des discussions au sein des deux assemblées.
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L
@ Sabredor<br /> J'ai pris connaissance avec intérêt de votre commentaire. J'espère qu'on vous lira encore sur ce blog.
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