Famille et Liberté : compte-rendu de l'Assemblée générale

Publié le par Christian Vanneste

L’Assemblée générale de Famille et Liberté (site) s’est réunie le 3 juin sous la présidence de Christian Vanneste, député du Nord, Président de l’association, dans la prestigieuse Salle Colbert, à l’Assemblée nationale.

L’assemblée a approuvé à l’unanimité le rapport d’activité retraçant les actions menées depuis l’assemblée précédente pour

- S’opposer aux menaces, mise sous conditions de ressources des allocations familiales, suppression de la carte de famille nombreuse, contre le pouvoir d’achat des familles.

- Promouvoir, les unions durables entre un homme et une femme, seules conformes à l’intérêt des enfants.


Ont été élus administrateurs :

Philippe Auzenet, pasteur, auteur, responsable de l’association Oser en Parler (son site et Oser en parler) [NB: ce fut le seul témoin religieux à venir prendre ma défense lors de mon procès montrant ainsi que mes propos étaient conformes à la tradition chrétienne]

Denis Chaigne (site des AFC)

Jean-Marie Schmitz (who’s who)


Les autres membres du Conseil d’administration sont, avec Christian Vanneste :

Henri de Benoist, membre du Conseil économique et social
Alain Caillaud, statisticien économiste
Douce de Franclieu, Présidente du Club Courbet (site : article “libérale et familial”)
Antoine Larbanet, trésorier
Le recteur Pierre Magnin.


A la suite de l’assemblée, Elizabeth Montfort, ancien député européen et conseillère régionale d’Auvergne, a monté que le projet du statut du beau parent est inutile puisque la loi du 4 mars 2002 permet déjà d’organiser les actes de la vie quotidienne entre un tiers et les enfants de son conjoint, et dangereuse puisqu’elle mettrait en concurrence plusieurs adultes vis-à-vis de l’enfant fragilisé par la séparation de ses parents.

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Loi inutile ou non ? Dans les faits, la seule grande innovation, c'est qu'il n'y aura plus besoin d'autorisation pour que le beau-parent puisse accomplir les actes du quotidien. Sont cités généralement comme exemple : chercher l'enfant à l'école ou l'emmener chez le docteur. Bien sûr, dans de nombreux cas, un accord à l'amiable est déjà trouvé pour ce genre de choses. Inutile donc le projet "light" du gouvernement, qui se lance dans ce texte pour pouvoir dire qu'il a tenu sa promesse de campagne. Sauf qu'en relisant les propos du candidat Sarkozy, son statut du beau-parent était censé être beaucoup plus audacieux que le texte en préparation...
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